Surjeteuse Juki MO 50eN

La Juki MO-50eN est la surjeteuse idéale pour débuter et découvrir les avantages de cet outil, sans pour autant dépasser votre budget.
Elle permet d'éviter les machines peu fiables et bon marché de la grande distribution, tout en maintenant une qualité irréprochable.

C’est une surjeteuse classique qui fonctionne en 3 ou 4 fils, avec 2 aiguilles.
Elle réalise toutes les fonctions de base attendues d’une surjeteuse : le surjet classique à 3 ou 4 fils, ainsi que le roulotté, lequel peut être effectué facilement, sans avoir à réenfiler toute la machine, un véritable gain de temps et de praticité.

Concernant l’enfilage, souvent redouté par les utilisateurs, la Juki MO-50eN est équipée d’un système d’aide à l’enfilage du boucleur inférieur, facilitant cette étape.
Bien que l'enfilage puisse rester une tâche délicate, cette assistance offre un vrai confort, notamment pour ceux qui appréhendent cette opération.

Bien qu'elle soit l’un des modèles d’entrée de gamme de Juki, la MO-50eN ne manque pas de fonctionnalités essentielles.
Elle est dotée d’un couteau inférieur ajustable, d’un différentiel et offre une longueur de point réglable entre 1 et 4 mm.
De plus, le couteau supérieur est escamotable, ce qui permet d’enfiler la machine en toute sécurité et plus facilement.

Pour vous donner une idée du profil de couturier ou couturière qui trouverait cette surjeteuse adaptée, je peux vous dire que c’est la machine que nous avons choisie pour ma mère en 2019.
Sans entrer dans les détails sur qui est cette personne extraordinaire, pour cela, je vous invite à visiter son gîte en Alsace : La Vieille Bascule – je peux néanmoins vous parler de ses habitudes en couture pour que vous puissiez vous projeter quant à l'utilisation de la Juki MO-50eN, ou plutôt, lui donner la paroles pour car elle en parlera sans doute mieux que moi (oui, ce texte est authentique) :

« Bonjour, j'ai 62 ans et je suis couturière amatrice. Je voudrais vous parler de ma Juki MO-50eN, une petite surjeteuse compacte mais très performante. Je l'utilise en complément de ma machine à coudre, et elle accepte presque tous les tissus, du molleton au coton, en passant par le jersey, le lycra et même la soie, sans aucune complication.

C'est simple : si je décide de me coudre un nouveau haut pour une soirée, le plus gros du travail est déjà fait une fois le tissu taillé. La surjeteuse assemble la plupart des pièces en un seul passage. Pour les étapes plus complexes, je commence à la machine à coudre avant de finaliser à la surjeteuse. En un rien de temps, je porte une pièce unique, faite maison.

Je travaille dans mon espace créatif avec mon fer à vapeur et mon ordinateur, où je suis facilement les tutoriels vidéo de mon fournisseur préféré de patrons. C'est vraiment pratique, je passe d'une étape à l'autre en toute fluidité.

Avant de commencer, je prends soin d’enfiler les machines, de vérifier les tensions des fils et d’ajuster la largeur des points. Je m'assure d’avoir mes épingles et ciseaux à portée de main, puis je fais toujours un ou deux essais sur des chutes de tissu pour ajuster les réglages et observer comment le tissu réagit, notamment en termes d’élasticité.

Avec la surjeteuse, les coutures sont toujours nettes, solides et dignes d’une finition professionnelle. Les surplus de tissu sont automatiquement coupés et récupérés dans un petit bac. Il suffit de respecter la vitesse de la machine et de manipuler le tissu avec douceur, sans tirer, et tout se déroule parfaitement.

Couturière depuis longtemps, j'ai été conquise par les performances de la Juki : elle offre un travail soigné et impeccable ! Bien sûr, il m’a fallu un peu de temps pour apprendre à l’utiliser correctement, notamment pour l’enfilage, mais la prise en main n’a pas été longue, et aujourd'hui, je ne pourrais plus m'en passer.

Avec elle, je réalise toutes sortes de choses, vêtements inédits, décoration de la maison, objets divers en tissus, plein de trucs pour satisfaire ma créativité. Et je m'amuse bien ! »